1. Happy 25th, Jaurim
2. Magic Carpet Ride (매직 카펫 라이드, 2000)
Sur ce ciel bleu si merveilleux,
A bord d’un tapis magique qui vole,
Dans ce monde bleu si merveilleux,
Planons ensemble, toi et moi.
Négligez tous ces cancans qui sont toujours les mêmes.
Remettez à demain des affaires tracassantes.
On n’a qu’une vie. Ne laissez aucun regret.
Prenez ce dont vous avez vraiment envie.
Venez au jardin magique bâti
Sur ce ciel bleu si merveilleux.
Vous y trouverez fleurs, bijoux, cerfs et soie,
Et nous deux, doux et tendres.
Riez de tous ces ragots qui sont toujours les mêmes.
Remettez à demain des affaires tracassantes.
On n’a qu’une vie. Ne laissez aucun regret.
Prenez ce dont vous avez vraiment envie.
Si la vie paraît trop ennuyeuse,
Oubliez tout ce qui s’est passé autrefois.
Vous n’avez qu’une occasion. Ne commettez pas d’erreur.
Cherchez ce que vous avez vraiment envie d’accomplir.
Vaillants et audacieux,
Essayez d’abandonner ce que vous êtes aujourd’hui.
Sur ce ciel bleu si merveilleux,
A bord d’un tapis magique qui vole,
Cett vie en rose si merveilleuse,
Partageons-la ensemble, toi et moi.
Vous n’avez qu’une seule vie.
Prenez ce dont vous avez vraiment envie.
Vaillants et audacieux,
Essayez de vous libérer de ce qui vous enferme aujourd’hui.
Sur ce ciel bleu si merveilleux,
A bord d’un tapis magique,
Dans cette mer verte si splendide,
A bord d’une voiture rouge,
Dans ce monde bleu si merveilleux,
Cette vie en rose si splendide,
Partageons tout cela ensemble, toi et moi.
3. Hey, hey, hey ! (헤이, 헤이, 헤이, 1997)
Le soleil, de ses rayons, remplit le ciel bleu,
Toi, de ta splendeur, comble mon cœur.
Adieu, les jours sombres !
Adieu, les larmes solitaires !
Je pense qu’il est grand temps de s’envoler.
Moi, jolie comme des fleurs, te comble le cœur,
Un parfum remplit toute la ville blanche,
Adieu, les jours sombres !
Adieu, les larmes solitaires !
Je pense qu’il est grand temps d’être heureuse.
Pour toujours, à mes côtés,
A chaque fois que j’ouvre les yeux,
C’est ton sourire qui me fait sourire.
4. Hahaha Song (하하하송, 2004)
Le jour où tout vous attriste,
Chante cette chanson.
Toi dont le cœur garde encore une étincelle de flamme,
Lutte sans te relâcher ! Hey, hey, hey, hey,
La-la-la-la le regret ?
Jette-le dans le ciel !
La-la-la-la la-la-la, cher ami,
Renais de tes cendres !
Une vie obséquieuse
Ne te sied point.
Lève la tête fièrement, cher ami.
C’est maintenant que tout commence.
La-la-la-la dans ton coeur
Fais éclore plein de fleurs.
La-la-la-la la-la-la, cher ami,
Ris aux grands éclats !
Ha ha-ha ha-ha ha ha-ha haha
Ha ha-ha ha-ha ha ha-ha ha-ha
Dans tes deux yeux scintillants
Se trouve la mer bleu,
Ecoute la chanson de ses vagues, cher ami.
La chanson que ton cœur chante.
Adieu, adieu, adieux, je ne pleurerai plus jamais.
La-la-la-la la-la-la
Je renaîtrai demain de mes cendres.
Ha ha-ha ha-ha ha ha-ha ha-ha
Ha ha-ha ha-ha ha ha-ha ha-ha
Ne te soucie point des regards des autres,
A ces regards perfides des lâches.
La-la-la-la, cher ami,
Si tu fais s’ouvrir des fleurs dans ton cœur,
La-la-la-la la-la-la,
Le demain rayonnera de toute sa splendeur,
La-la-la-la, cher ami,
Laisse ton coeur ouvert,
Pour que le soleil puisse rayonner de toute sa splendeur,
Ha ha-ha ha-ha
Ha ha-ha ha-ha
5. 17171771 (2004)
Je ne puis que t’aimer, toi qui es aussi aimable
Que le sourire des anges et les chants des oiseaux.
Viens à moi maintenant, soyons ensemble pour toujours.
Quand je suis avec toi, je n’ai pas peur.
Tu sais, c’est pour te rencontrer,
Toi, qui es unique au monde,
Que je suis venue ici bas.
Peut-être on s’est déjà aimé depuis longtemps,
Depuis cette étoile inconnue si lointaine.
Car je t’aime et c’est plus fort que moi,
Comme j’aime le rayon de soleil de mai et le ciel d’octobre.
Viens à moi, tu sens déjà
Que la tristesse s’est épanouie à notre insu.
Na na na-na na-na-na na na na
Parfois, la nuit où la tempête gronde,
Des diables venus d’une étoile,
Cherchent à nous séparer.
Là, nous nous asseyons calmement face à face,
Nous nous serrons doucement les mains,
Et nous rappeloons ce paradis parfumé.
Alors, le vent se calme, le nuage noir disparaît
Et le soleil sourit chaleureusement.
Quand je suis avec toi, je n’ai peur de rien.
Ni des diables, ni de l’enfer, ni du destin noir.
Car je t’aime, et c’est plus fort que moi,
Comme j’aime la peau tendre de bébé ou le parfum d’une jeune fille.
Viens, maintenant, moi. Tu sais déjà tout !
Que nous sommes nés pour l’un et l’autre.
Na na na-na-na
Car je ne puis que t’aimer, toi aussi aimable
Que le sourire des anges et les chants des oiseaux.
6. Je suis ton fan (팬이야, 2002)
Même si, mine de rien, tu essaies d’esquisser un sourire,
Je sais bien que tu pleures parfois en cachette.
Même pour moi, qui n’ai rien de spécial,
Il faut des évènements qui ressemblent à de la magie,
Pour que je puisse rêver chaque jour sans pleurer.
Quand viendra ce matin, un jour.
Oh let me smile again in the sun.
Même pour ma vie qui n’a rien d’extraordinaire, il faut du courage,
Pour que je puisse me relever chaque jour et marcher encore demain.
Je sais que toi, tu es exactement comme moi.
Puisque toi aussi, tu regardes le ciel, pour ne pas t’effondrer.
Vers ce matin, qui viendra un jour.
I see the light shining in your eyes.
I'm my fan
I'm mad about me.
I love myself
Je me le dis chaque jour dans le miroir.
I'm my fan
I'm mad about me.
I love myself
Je me le dis chaque jour dans le miroir.
Si seulement je pouvais m’en aller quelque part à l’insu des autres,
Comme si j’étais quelqu’un qui n’avait jamais existé.
Même pour ma vie qui n’a rien d’extraordinaire,
Il faut du courage.
Je me relève, chaque jour, demain et encore demain.
Viendra-t-il, un jour, ce matin tant rêvé ?
Ce matin qui reste encore voilé dans une ombre épaisse.
I'm my fan
I'm mad about me.
I love myself
Day after Day I'm saying same prayer for me
I'm my fan
I'm mad about me.
I love myself
Day after Day I'm saying same prayer for me
I see the light shining in my eyes
I see the light shining in my eyes
I see the light shining
I see the light shining in my eyes
7. Ange de cire (밀랍천사, 1977)
Cette nuit, tu as l’air trop magnifique.
Tu as l’air trop heureuse, trop.
Si cette nuit, je te laisse,
Si je te laisse comme ça, ce sera absurde.
Je t’embrasserai sur tes lèvres rouges,
Je te ferai la déclaration, aujourd’hui,
Je ne te laisserai pas t’en aller.
Toi, qui es froide, tu es mon ange, qui n’appartiens qu’à moi.
Que m’importe si tu ne respires pas, yé, yé !
Toi, qui es glacée, tu es mon amante, qui n’appartiens qu’à moi.
Qu m’importe si tu ne parles pas, yé, yé, yé, yé !
Cette nuit, tu as l’air trop parfaite.
Tu as l’air trop heureuse, mais trop.
Cette nuit, souris dans mes bras,
Danse dans mes bras, dans mes bras.
Je veux te toucher, toi qui as une peau froide,
Je veux te toucher.
Je veux t’avoir, toi qui a des yeux glacés,
Je veux t’avoir.
Toi, qui es froide, tu es mon ange, qui n’appartiens qu’à moi.
Que m’importe si tu ne respires pas.
Toi, qui es glacée, tu es mon amante, qui n’appartiens qu’à moi.
Qu m’importe si tu ne parles pas.
Cette nuit, tu as l’air trop magnifique.
Tu as l’air trop heureuse, mais trop.
Si cette nuit, je te laisse,
Si je te laisse comme ça, ce sera absurde.
Toi, qui es froide, tu es mon ange, qui n’appartiens qu’à moi.
Que m’importe si tu ne respires pas, yé, yé !
Toi, qui es glacée, tu es mon amante, qui n’appartiens qu’à moi.
Qu m’importe si tu ne parles pas, yé, yé, yé, yé !
8. Désolée, je te hais (미안해, 널 미워해, 1998)
Je ne me souviens plus,
Même pas du rêve de la nuit dernière.
Pourtant, je n’ai pas cherché à l’oublier.
Pour ne pas m’endormir,
Je t’ai appelé en fermant les yeux,
Tu ne me manquais pour autant pas à me crever le cœur.
Désolée, je te hais, comme tu restes toujours ainsi,
Comprends-le, puisque tu restes le même.
J’ai prié pour ne pas rêver en fermant les yeux,
Tu ne me manquais pour autant pas à me crever le cœur.
Oui, maintenant, je veux t’effacer
Et te laisser partir, je n’en peux plus.
Désolée, je te hais, comme tu restes toujours ainsi,
Comprends-le, puisque tu restes le même.
Je suis toute triste, trempée de la pluie à mon insu.
Désolée, je te hais, comme tu restes toujours ainsi,
Comprends-moi, puisque tu restes le même.
9. Chanson : Our Song (2022)
Je croyais que quand j’aurais vingt ans,
Je flamboierais comme le soleil splendide,
Et que mes jeunes années seraient aussi éblouissantes
Que l’été brûlant.
Un secret banal que personne ne t’apprend,
C’est que même si on se démène, au fond, rien ne change.
Je croyais que quand je serais adulte,
Je scintillerais en haut du firmament
Comme ces étoiles brillantes.
Je croyais que mes jeunes jours seraient pleins d’émotion
Comme ces fêtes débordantes de passions ardentes.
Si tu restes immobile en retenant le souffle,
Si tu restes assise les regards vides, au fond, rien ne change.
Allez, maintenant, élançons-nous en frappant fort la terre
Jusqu’à très loin, jusqu’au bout du monde !
Allez, maintenant, ouvrons nos ailes et volons
Jusqu’au bout du ciel, jusqu’au bout du Soleil !
Woo, woo, woo….
Mais déjà, notre aventure a pris fin.
On pouvait aller partout, comme ces oiseaux libres.
On croyait que le temps ne compterait pas pour nous.
Ce petit monde misérable, on croyait pouvoir le quitter à tout moment.
La-la-la-la, la-la-la-la, la témérité de nos jeunes années,
La-la-la-la, la-la-la-la, de nombreux jours à vivre encore.
Quelques fois, vivre nous semble plus dur que mourir,
Et ces multiples choses à protéger pèsent sur nos épaules.
Or, si le temps ne nous avait rien appris,
On ne ferais que railler ce monde comme si nous restions enfants.
La-la-la-la, la-la-la-la, l’oiseau bleu qui apporte du bonheur,
La-la-la-la, la-la-la-la, des choses qu’on a délaissées.
Parfois, j’ai tenté de m’abandonner,
Parfois, j’ai tenté de quitter ce monde
Parfois, j’ai cru que il n’y avait que moi qui étais comme ça.
J’ignorais que j’avais déjà beaucoup de choses,
J’ignorais que je les perdrai un jour,
J’ignorais qu’il me resterait encore beaucoup de jours à vivre…
La-la-la-la, la-la-la-la, la témérité de mes jeunes jours,
La-la-la-la, la-la-la-la, de nombreux jours à vivre encore.
La-la-la-la, la-la-la-la, ô oiseau bleu qui apporte du bonheur,
La-la-la-la, la-la-la-la, reste auprès de moi s’il te plaît…
10. Twenty five, twenty one (스물다섯, 스물하나)
A chaque fois que revient la saison où les pétales de fleur voltigent dans le vent,
J’ai encore l’impression de tenir tes mains dans les miennes.
A l’époque, je ne savais pas si désespérément
Que les fleurs étaient si belles.
Le vent ramène ton parfum.
On les croyait rester éternels,
Nos vingt cinq ans et vingt et un ans.
La mer de ce jour-là était fort accueillante.
J’ai encore l’impression de pouvoir la saisir.
Dans les rayons du soleil qui s’éclatent se trouvons toi et moi.
Nous rêvions d’un rêve tellement beau à faire briser le cœur.
Le vent ramène notre chant de ce jour,
On nous croyait demeurer éternels,
Toi et moi de ce temps révolu.
Ta voix, tes yeux
Et même ta chaleur qui m’était si chère,
Plus je cherche à me les rappeler, plus ils s’estompent.
Je ne puis te saisir, toi qui te dissipes dans les brouillards.
A chaque fois que revient la saison où les pétales de fleur voltigent dans le vent,
J’ai encore l’impression de garder tes mains dans les miennes.
A l’époque, je ne savais pas si désespérément
Que tu étais si beau.
Le vent ramène ton parfum.
On les croyait rester éternels,
Nos vingt six ans et vingt et un ans.
Le vent ramène le chant de ce jour,
On nous croyait demeurer éternels,
Toi et moi de ce temps révolu.
11.Chanson : Shining (샤이닝, 2006)
Un jour, pas maintenant, quelque part, pas ici,
Y aura-t-il un endroit qui daignera me recevoir ?
Même si je n’essaie pas de cacher mon âme pauvre,
Y aura-t-il quelqu’un qui me prendra dans ses bras ?
Au-dessus de mon cœur assoiffé s’enflamme le soleil.
Si seulement les ailes me poussaient, pourrais-je m’envoler vers lui ?
Le ciel d’où tombent les étoiles est d’une telle beauté
Que je reste debout, en pleurant, comme un idiot.
Quand la tempête dans mon cœur s’arrêtera-t-elle ?
Je reste debout, seul, dans ce monde où le vent me fouette.
Ces doutes qui ne se dissipent pas, ces questions qui n’ont pas de réponses
Y aura-t-il quelque chose qui pourra me combler ?
Pourquoi cette solitude sans raison, pourquoi cette souffrance de rester en vie ?
Y aura-t-il quelqu’un qui me prendra dans ses bras ?
Si seulement j’avais des ailes, pourrais-je m’envoler vers lui ?
Au-dessus de mon cœur assoiffé s’enflamme le soleil.
Le ciel d’où tombent les étoiles est d’une telle beauté
Que je reste debout en pleurant comme un idiot.
Quand se taira-t-elle, la tempête qui gronde dans mon cœur ?
Un jour, pas maintenant, quelque part, pas ici,
Y aura-t-il un endroit qui pourra me recevoir ?
12. Déviation (일탈, 1997)
Ces journées qui se déroulent toujours de la même manière,
Je m’ennuie. Je ne fais que bailler.
N’y aura-t-il pas quelque chose d’excitant ?
N’y aura-t-il pas quelque chose d’amusant ?
Partir pour le voyage, lorsqu’il y a beaucoup de choses à faire,
Effectuer un saut à l’élastique, depuis le toit-terrasse d’un haut immeuble,
Faire un strip-tease dans la station de métro de *Sindorim.
(* Sindorim est l’une des stations les plus bondées de Séoul)
Yaï-yaï-yaï-yaï-ya !
Ce quotidien qui me fatigue sans grand-chose à faire
Je me sens lasse et je ne fais que m’étirer.
N’y aura-t-il pas quelque chose d’excitant ?
N’y aura-t-il pas quelque chose d’amusant ?
Yaï-yaï-yaï-yaï-ya !
Danser comme une folle avec des fleurs sur les cheveux,
Se raser la veille de jour de *seon,
(* Rencontre sérieuse des jeunes en âge de se marier organisée par leurs parents)
Faire du jogging nue lors d’une nuit d’hiver pluvieuse.
Yaï-yaï-yaï-yaï-ya !
Partir pour le voyage, lorsqu’il y a beaucoup de choses à faire,
Effectuer un saut à l’élastique, depuis le toit-terrasse d’un haut immeuble,
Faire un strip-tease dans la station de métro de Sindorim.
Yaï-yaï-yaï-yaï-ya !
Tout le monde veut, là où il peut s’enfuir, tout le monde désire,
Quelque chose de différent, tout le monde le veut, tout le monde le veut
Moi aussi, je le veux !
Ces journées qui se déroulent toujours de la même manière…
N’y aura-t-il pas quelque chose d’excitant ?
N’y aura-t-il pas quelque chose d’amusant ?
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